"C'est fini ce boucan, les Macaronis ? On aimerait dormir !"
Semaine fort chargée en évènements !
Fin de cette damnée coupe du monde qui m'a tout compte fait pris un temps monstre. L'occasion aussi de regarder de vrais matchs de foot pour supporters occasionnels, avec drapeaux, mangeaille, boissons et coups de gueule plus ou moins justifiés.
Comme tout le monde dans ce pays, j'ai vécu l'intensité de l'ascension des Bleus après le scénario "2002" qu'il ont joué sans anicroche, puis observé la rupture provoquée dans le triangle latin France-Espagne-Italie telle une belle victoire de l'amour entre les peuples et la fin irréversible des clichés, pour ainsi arriver à cette finale de folie. Finale que je n'ai pas vécue en ermite puisque (très positivement) subie avec mes compatriotes de la place Jean Jaurès.
Oublions le fait que l'écran était gêné par les arbres, et que les enceintes étaient trop avancées et empêchaient la vision sur le côté. Le match fut rude. Un spectacle entièrement gratuit qui ne fut de toute façon pas remboursable tellement le suspense était au rendez-vous.
C'est bien simple, aux tirs au buts, moi, jeune patriote à mi-chemin entre le beuglard de base et le nihiliste vis-à-vis des sports de compétition, était fixé à l'écran ; et cette magie mi-blanche mi-noire qui ralliait ensemble tous les Français opéra. Quand j'y repense, mon visage était tellement tendu, et si beau avec ma chemise mordillée à tout bout de champ que j'aurais pu passer aux Infos dans la rubrique "Déception et désespoir voguant sur une plaie ouverte".
L'excellente deuxième place de nos représentants black-blanc-black (pour les "sale raciste", ajoutez un commentaire, j'en manque) m'a fait relativiser la situation illico presto et m'envoya avec mon camarade estudiantin de beuverie savourer une bonne bière bien fraîche dans un bar ouvert (on en rêvait depuis la mi-temps)...
Et ce soir, FEU D'ARTIFICE !!!
Que de monde sur le Pont de Pierre pour communier autour de pétarades, ça fait toujours plaisir ! Et banco cette année : une pyrotechnie plus longue, plus impressionnante, variée et belle, plus "plus" (plus chère aussi). Vingt-cinq bonnes minutes de lumières dans le ciel.
Sur le coup j'ai pensé à tous les enfants autour de moi qui en conserveront un excellent souvenir, je l'espère ému, et rien que pour ça le 14 juillet a un intérêt. Je reviens l'année prochaine, ça vaut le déplacement, sisi. (Gaffe au budget municipal quand même ! [modeélecteuroff])
Fin de cette damnée coupe du monde qui m'a tout compte fait pris un temps monstre. L'occasion aussi de regarder de vrais matchs de foot pour supporters occasionnels, avec drapeaux, mangeaille, boissons et coups de gueule plus ou moins justifiés.
Comme tout le monde dans ce pays, j'ai vécu l'intensité de l'ascension des Bleus après le scénario "2002" qu'il ont joué sans anicroche, puis observé la rupture provoquée dans le triangle latin France-Espagne-Italie telle une belle victoire de l'amour entre les peuples et la fin irréversible des clichés, pour ainsi arriver à cette finale de folie. Finale que je n'ai pas vécue en ermite puisque (très positivement) subie avec mes compatriotes de la place Jean Jaurès.
Oublions le fait que l'écran était gêné par les arbres, et que les enceintes étaient trop avancées et empêchaient la vision sur le côté. Le match fut rude. Un spectacle entièrement gratuit qui ne fut de toute façon pas remboursable tellement le suspense était au rendez-vous.
C'est bien simple, aux tirs au buts, moi, jeune patriote à mi-chemin entre le beuglard de base et le nihiliste vis-à-vis des sports de compétition, était fixé à l'écran ; et cette magie mi-blanche mi-noire qui ralliait ensemble tous les Français opéra. Quand j'y repense, mon visage était tellement tendu, et si beau avec ma chemise mordillée à tout bout de champ que j'aurais pu passer aux Infos dans la rubrique "Déception et désespoir voguant sur une plaie ouverte".
L'excellente deuxième place de nos représentants black-blanc-black (pour les "sale raciste", ajoutez un commentaire, j'en manque) m'a fait relativiser la situation illico presto et m'envoya avec mon camarade estudiantin de beuverie savourer une bonne bière bien fraîche dans un bar ouvert (on en rêvait depuis la mi-temps)...
Et ce soir, FEU D'ARTIFICE !!!
Que de monde sur le Pont de Pierre pour communier autour de pétarades, ça fait toujours plaisir ! Et banco cette année : une pyrotechnie plus longue, plus impressionnante, variée et belle, plus "plus" (plus chère aussi). Vingt-cinq bonnes minutes de lumières dans le ciel.
Sur le coup j'ai pensé à tous les enfants autour de moi qui en conserveront un excellent souvenir, je l'espère ému, et rien que pour ça le 14 juillet a un intérêt. Je reviens l'année prochaine, ça vaut le déplacement, sisi. (Gaffe au budget municipal quand même ! [modeélecteuroff])